Colt Python 4"

Ca y est, je l'ai enfin trouvé... en royal blue, 4 " comme je le voulais...

In Colt I trust!

Je ne peux que te féliciter, et approuver ton choix !!
Poste-nous vite des belles photos dans la rubrique "vos armes", ou même dans le post "revolvers Colt d'avant 1983" si c'est le cas.

Bien joué

Maintenant on veut des photos !

Pris de vitesse pour 20 secondes...

Personne ne dégaine le Python plus vite que moi !
20 secondes, c'est long...

Merci, dès que j'ai l'arme entre les mains, je poste la photo...

Pour l'instant j'ai juste payé un accompte, je dois encore attendre les papiers...

Je meurs d'impatience...

D'après le numéro de série, c'est un Colt de 1982.

J'ai toujours eu une passion pour les Colts...

Evidemment, des séries comme City Hunter, n'ont pas arrangé mon cas...

Je continuerai bien avec des modèles 1911 Government...

A voir, l'année prochaine!

L'un des plus beaux revolvers !

Pour ma part, j'ai revendu mes deux 6 pouces (un noir et un nickelé),
pour ne garder qu'un 4 pouces bleu de la bonne époque.

Parfaitement équilibré, très précis, et une gueule...

Bravo pour ton achat !

Merci Divico!

j'avoue je suis assez heureux...

Divico a écrit:

...
Parfaitement équilibré, très précis, et une gueule...

Bravo pour ton achat !

Pour ajouter une opinion un peu plus négative (réaliste diraient certains ) on peut dire que le Python a une course de chien trèèès longue avant percussion (il suffit de comparer avec un Smith & Wesson ou Manurhin) et surtout que le barillet ne comporte qu'un seul point de verrouillage (à l'arrière de l'axe du barillet) en comparaison des autres marques de revolver qui en ont au moins deux (avant et arrière de l'axe du barillet) voir trois (modèle Triple Lock de Smith & Wesson). Pour une arme chambrée en .357 Magnum c'est très (trop) léger en terme de solidité et de robustesse du verrouillage dans le temps. Les tireurs que je connais, conscients de cette faiblesse, et qui ont un Python se contentent d'ailleurs de tirer régulièrement du .38 Special dans cette arme, un peu à la manière d'un Smith & Wesson modèle 19 ou 65. Et de temps en temps un ou deux barillets de .357 Magnum en fin de séance.
Mais celà n'enlève rien aux qualités esthétiques du Colt, surtout la bande de visée ventilée et sa qualité de bronzage poli miroir.

Projektyle a écrit:

Divico a écrit:

...
Parfaitement équilibré, très précis, et une gueule...

Bravo pour ton achat !

Pour ajouter une opinion un peu plus négative (réaliste diraient certains ) on peut dire que le Python a une course de chien trèèès longue avant percussion (il suffit de comparer avec un Smith & Wesson ou Manurhin) et surtout que le barillet ne comporte qu'un seul point de verrouillage (à l'arrière de l'axe du barillet) en comparaison des autres marques de revolver qui en ont au moins deux (avant et arrière de l'axe du barillet) voir trois (modèle Triple Lock de Smith & Wesson). Pour une arme chambrée en .357 Magnum c'est très (trop) léger en terme de solidité et de robustesse du verrouillage dans le temps. Les tireurs que je connais, conscients de cette faiblesse, et qui ont un Python se contentent d'ailleurs de tirer régulièrement du .38 Special dans cette arme, un peu à la manière d'un Smith & Wesson modèle 19 ou 65. Et de temps en temps un ou deux barillets de .357 Magnum en fin de séance.
Mais celà n'enlève rien aux qualités esthétiques du Colt, surtout la bande de visée ventilée et sa qualité de bronzage poli miroir.

Oui, oui, tu as tout à fait raison !

Le Python, je le réserve à la .38 SP, avec, épisodiquement un ou 2 barillets vitaminés à la .357.

Il n'en demeure pas moins qu'il s'agit d'une arme mythique, avec une gueule qui ne l'est pas moins !
Tout collectionneur qui se respecte se doit de posséder, un jour ou l'autre, un Colt Python de la bonne époque.

Pour mes tirs full charge en .357, je n'utilise quasiment plus que mon MR 73, avec poignée Nill. Lui, l'est carrément
fait pour...

Divico a écrit:

Pour mes tirs full charge en .357, je n'utilise quasiment plus que mon MR 73, avec poignée Nill. Lui, l'est carrément
fait pour...

Mmmh... ça dépend...
Qu'apelle-tu des "full charge" ?
Poudre vive ?
Poudre lente ?
A la sortie du canon: 800 Joules ? 1230 Joules ?
C'est pas la même chose.
Il est bien évident qu'un Python ne supporte pas des charges extrêmes tout le temps. Mais un MR 73 non plus, à moins que ça soit des .357 "habituelles".

Nicky Larson a écrit:

...
A la sortie du canon: 800 Joules ? 1230 Joules ?
C'est pas la même chose.
...

Pour atteindre 1 200 Joules avec la balle de 158 grains, il faut au moins une vitesse de 490 m/s. C'est hors de portée de la .357 Magnum, avec ce poids de balle et avec un canon de 6", et encore plus 4". En canon de 6", une 158 grains JSP poussée par 1.0 gramme de Sp3 atteint 390 m/s (c'est ce que j'avais pu mesurer dans l'arme d'un collègue, avec ses rechargements) et celà représente tout de même une très respectable énergie de 775 Joules. Avec des charges compressées (autour de 1.10 gramme de Sp3) on doit gagner quelques dizaines de mètres/seconde, mais on ne dépasse certainement pas les 450 m/s et les douilles doivent coller sérieusement aux chambres et les amorces ressembler à des cratères lunaires...

Pour atteindre cette vitesse (500 m/s) avec la balle de 158 grains JSP, il faut passer sur d'autres calibres avec plus de capacité en poudre: .357 Maximum, .357 Bain & Davis, .360 Dan Wesson...

Projektyle a écrit:

Nicky Larson a écrit:

...
A la sortie du canon: 800 Joules ? 1230 Joules ?
C'est pas la même chose.
...

Pour atteindre 1 200 Joules avec la balle de 158 grains, il faut au moins une vitesse de 490 m/s. C'est hors de portée de la .357 Magnum, avec ce poids de balle et avec un canon de 6", et encore plus 4". En canon de 6", une 158 grains JSP poussée par 1.0 gramme de Sp3 atteint 390 m/s (c'est ce que j'avais pu mesurer dans l'arme d'un collègue, avec ses rechargements) et celà représente tout de même une très respectable énergie de 775 Joules. Avec des charges compressées (autour de 1.10 gramme de Sp3) on doit gagner quelques dizaines de mètres/seconde, mais on ne dépasse certainement pas les 450 m/s et les douilles doivent coller sérieusement aux chambres et les amorces ressembler à des cratères lunaires...

Pour atteindre cette vitesse (500 m/s) avec la balle de 158 grains JSP, il faut passer sur d'autres calibres avec plus de capacité en poudre: .357 Maximum, .357 Bain & Davis, .360 Dan Wesson...

Voui, je l'allais dire...

Alors je vais vous donner les coordonnées de mon rechargeur qui me recharge des .357 Mag à 1225 Joules 490 m/s en effet.

Nicky Larson a écrit:

Alors je vais vous donner les coordonnées de mon rechargeur qui me recharge des .357 Mag à 1225 Joules 490 m/s en effet.

A ta place, je commencerais à quitter le pas de tir lorsqu'il tire ces "mini roquettes" et, surtout, je ne tirerais plus ces munitions chargées à la Cordite ou Pentrite dans mes armes. Qui plus est si c'est un beau Colt Python des années 60 ou 70...

On peut toujours faire une munition qui pête plus que celle du voisin, rien n'est impossible techniquement parlant. Par contre, prédire quand un barillet, un canon ou une culasse en auront "marre-de-vivre", et gonfleront, se fendront ou éclateront, c'est plus difficile.

Regardez les spécifications de la .357 Magnum d'origine de 1935 (une 158 grains à 1 200 fps) et comparez les à ces "mini-roquettes" que vous êtes si fier de tirer. Les chiffres devraient vous faire vous poser les bonnes questions...

Et si on trouve que le .357 Magnum, même chargé normalement c'est "trop mou", il n'y a qu'une solution sûre à envisager: laisser tomber les revolver .357 Magnum et opter pour un calibre tel que le .44 magnum ou même plus gros. Pour les amateurs de "Maxi-magnomite Aigue", on trouve de très beaux Smith & Wesson 29 ou 629, Ruger Blackhawk ou même Taurus 444. Ils sauront vous combler, et nul besoin de torturer un Colt Python en surchargeant les cartouches.

Qui dit que je tire cela dans des Colt Python des années 60-70 ??!!
Dans les Python, je tire... de la .38 WC !!!

Les chiffres de mon rechargeur sont peut-être faux.

Cette munition est utilisée dans un 28 et un 586 qui n'ont jamais bronché.
Mon rechargeur tire cela dans un Trooper Mk III qui n'a jamais bronché non plus.

Python 4"...

Un bijou, je viens d'en acheter un dernièrement...année 1982-1983, (pas totalement sûr)
Modèle "nickelé", détente à bouffer en SA comme en DA !!!

MAGNIFIQUE !

Je te souhaite que du bonheur, que ce soit en 38 ou en 357 !

A+

Timber

Merci Timber!



C'est sûr, je me suis fait plaisir...

Timber a écrit:

Python 4"...
Un bijou, je viens d'en acheter un dernièrement...année 1982-1983, (pas totalement sûr)

Si tu as un doute, le numéro de série te donne normalement l'année de production (le mien était de 77)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Tu cliques sur l'onglet "Liste des numéros de série" en milieu de page.
Alors, quelle année?

Merci pour le lien ¨!!

'vais vérifier ça tantôt... pour autant que ce soit fiable sur Wikimerdia ! 

Durant 5 semaines j'ai entrainé Yves MONTAND avec le mien...Bien sûr celui utilisé pour le tournage ne pouvait tirer que des cartouches à blanc!!
Souvenirs,souvenirs..... 

ROLLAND a écrit:

Durant 5 semaines j'ai entrainé Yves MONTAND avec le mien...

Ah quand même!...   

ROLLAND a écrit:

Durant 5 semaines j'ai entrainé Yves MONTAND avec le mien...

Perso je trouve que c'est Montand qui a eu de la chance d'avoir un instructeur comme toi