Home defense et fusil de chasse ou a pompe

Et c'est toi qui fait la vaisselle, le ménage, le repassage etc...

Non merci

Tu as raison je préfère les chiens

Eagle4 a écrit:

Le plus efficace c'est ça :



Ca laisse le temps de charger, car si "ça" a été neutralisé il n'y a pas à hésiter...

[Mode Gros Pollueur ON]
Mais comment font-ils pour faire rentrer "ça" dans le magasin d'un pompe ? Ils sont vraiment très fort

[Mode Gros Pollueur OFF]

A+

j'ai pas eu le courage de tout lire, par contre les cartouches de 12 avec la chaussette m'interesse, j'en trouve pas en france. ou du moins jamais vue!
si quelqu'un a une adresse ça serait cool

12 juxtaposé
2 coups de 7 1/2 24 grammes et zou
attention de bien viser les jambes

Dans la plupart des foyers, les pièces font au grand max 5X5 mètres, hors loft et certains couloirs. Dans ce genre d'environnement, sans compter les pièces plus petites encore, un agresseur ayant des notions assez pointues de combat à mains-nues aura une chance de vous désarmer; et plus la longueur de l'arme est grande, plus il a de chances.

De plus, si vous ouvrez le feu alors qu'il essaie de vous désarmer à mains-nues et que vous faites mouche, c'est lui qui est (sauf erreur) en état de légitime défense; du moins en suisse.

Personnellement, je n'ai pas encore d'arme à feu; mais j'ai un pistolet à plomb, non-chargé, pour intimider.
En cas d'intrusion dans mon appartement, le plus efficace selon moi, ce n'est pas une arme à feu mais le katana que je possède et qui est rangé sous mon lit. Avec une portée létale de 2 mètres si je ne bouge pas le pied gauche et une portée de 4 mètres pour une attaque standard, je pense qu'en milieu clos c'est de loin la solution la plus discrète, efficace et sans problème avec la loi.
En effet, un katana n'est même pas considéré comme arme en suisse, je pourrais même le porter dans la rue au même titre qu'un sac à dos ou une canette de bière.

Évidement il est nécessaire de savoir se défendre, pas seulement d'arracher frénétiquement la détente d'une pauvre arme qui fera quand même mouche car on se trouve à 2 mètres de la cible, en combat rapproché l'expérience est primordiale.

Mon sensei, donnant également des cours de self-défense, entrainant des policiers et ayant été champion du monde de jujutsu m'a toujours dit qu'un mec avec une arme blanche serait bien plus meurtrier qu'un mec avec une arme à feu sur une distance variant de 2 à 4 mètres selon la nature de l'arme blanche. Selon lui une arme à feu, même maniée par un pro, aura un temps de latence assez grand avant de faire feu (visée + 1 sec de départ du coup) et n'est létal que sur une ligne droite.
En combat rapproché, un sabre sera létal sur un plan dans l'espace correspondant au trajet de la lame et est bien plus versatile qu'une arme à feu (avec un sabre d'1.1 kg on change de direction en très peu de temps) tout en étant une plaie à désarmer ca tout ce qui sort de la main du combattant est insaisissable (dans le cas d'un PA, tout est saisissable sauf la bouche si il n'a pas le recul d'un D.E., dans le cas d'un revolver tout est saisissable et saisir la roulette empêche de tirer si le chien n'est pas armé).
Et si l'agresseur ne sait pas s'en servir, il aura beau avoir la chance de vous désarmer, il ne fera pas grand chose avec.

Après quelques tests réalisés au club l'année dernière avec un couteau de marquage et un airsoft, de 0 mètres à 1.5 mètres, j'ai désarmé ou tué à 100% sans me prendre le pruneau. Après 2m jusqu'à 2.5m environ je me prend le pruneau une fois sur 3 mais toujours après l'avoir tué, le désarmement est difficile avec un couteau, plus facile à mains nues. Après 3 mètres je me fais flinguer à 100%. Au bokken on a fait quelques test, enfin pas trop car mon partenaire a vite souffert de maux de crâne, et en gros l'adversaire est mort à 3m, fifty-fifty de 3.5 à 4.5 mètres.
En situation réelle, je ne tenterais aucune de ces manœuvres, le pruneau passe vachement près et on est pas à l'abri d'une fausse manip, il est évident qu'utiliser une arme à feu est plus constant dans le résultat et moins risqué même si son efficacité maximale est inférieure.

Je pense donc que pour les surarmés, il est bon d'avoir tout de même une arme blanche pour être plus polyvalent.

Pour ce qui est d'une éventuelle arme à feu (je vais pas faire l'hypocrite, dès que j'en ai une ça sera à la main pour dissuader, avec le katana à la ceinture), j'éviterais personnellement les balles blindées (pas envie de tuer le voisin avec), les fusils (même raison et aussi pour sa longueur), les petits calibres (si le mec ne bouge pas lors de l'impact, il va tirer) et c'est tout ce qui me vient sur le moment.
Perso je préconise un cal .45 ou un .357 avec des JHP si l'ambition est d'envoyer le mec à l'autre bout du salon en se souciant uniquement de le tuer et de ne tuer personne d'autre.
J'éviterais le full auto si possible, bien qu'efficace, pour des raisons de sécurité.

Citation :

Mon sensei, donnant également des cours de self-défense, entrainant des policiers et ayant été champion du monde de jujutsu m'a toujours dit qu'un mec avec une arme blanche serait bien plus meurtrier qu'un mec avec une arme à feu sur une distance variant de 2 à 4 mètres selon la nature de l'arme blanche. Selon lui une arme à feu, même maniée par un pro, aura un temps de latence assez grand avant de faire feu (visée + 1 sec de départ du coup) et n'est létal que sur une ligne droite.

Il faut que je retrouve le lien (en anglais) vers une interressante étude, rapport à la maitrise des armes des "cop killers" US.

[EDIT] trouvé! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Citation :

Originally Posted by F.B.I.
I. NEW FINDINGS FROM FBI ABOUT COP ATTACKERS & THEIR WEAPONS

New findings on how offenders train with, carry and deploy the weapons they use to attack police officers have emerged in a just-published, 5-year study by the FBI.

Among other things, the data reveal that most would-be cop killers:

––show signs of being armed that officers miss;

––have more experience using deadly force in "street combat" than their intended victims;

––practice with firearms more often and shoot more accurately;

––have no hesitation whatsoever about pulling the trigger. "If you hesitate," one told the study's researchers, "you're dead. You have the instinct or you don't. If you don't, you're in trouble on the street...."

These and other weapons-related findings comprise one chapter in a 180-page research summary called "Violent Encounters: A Study of Felonious Assaults on Our Nation's Law Enforcement Officers." The study is the third in a series of long investigations into fatal and nonfatal attacks on POs by the FBI team of Dr. Anthony Pinizzotto, clinical forensic psychologist, and Ed Davis, criminal investigative instructor, both with the Bureau's Behavioral Science Unit, and Charles Miller III, coordinator of the LEOs Killed and Assaulted program.

"Violent Encounters" also reports in detail on the personal characteristics of attacked officers and their assaulters, the role of perception in life-threatening confrontations, the myths of memory that can hamper OIS investigations, the suicide-by-cop phenomenon, current training issues, and other matters relevant to officer survival. (Force Science News and our strategic partner PoliceOne.com will be reporting on more findings from this landmark study in future transmissions.)

Commenting on the broad-based study, Dr. Bill Lewinski, executive director of the Force Science Research Center at Minnesota State University-Mankato, called it "very challenging and insightful––important work that only a handful of gifted and experienced researchers could accomplish."

From a pool of more than 800 incidents, the researchers selected 40, involving 43 offenders (13 of them admitted gangbangers-drug traffickers) and 50 officers, for in-depth exploration. They visited crime scenes and extensively interviewed surviving officers and attackers alike, most of the latter in prison.

Here are highlights of what they learned about weapon selection, familiarity, transport and use by criminals attempting to murder cops, a small portion of the overall research:

WEAPON CHOICE.

Predominately handguns were used in the assaults on officers and all but one were obtained illegally, usually in street transactions or in thefts. In contrast to media myth, none of the firearms in the study was obtained from gun shows. What was available "was the overriding factor in weapon choice," the report says. Only 1 offender hand-picked a particular gun "because he felt it would do the most damage to a human being."

Researcher Davis, in a presentation and discussion for the International Assn. of Chiefs of Police, noted that none of the attackers interviewed was "hindered by any law––federal, state or local––that has ever been established to prevent gun ownership. They just laughed at gun laws."

FAMILIARITY.

Several of the offenders began regularly to carry weapons when they were 9 to 12 years old, although the average age was 17 when they first started packing "most of the time." Gang members especially started young.

Nearly 40% of the offenders had some type of formal firearms training, primarily from the military. More than 80% "regularly practiced with handguns, averaging 23 practice sessions a year," the study reports, usually in informal settings like trash dumps, rural woods, back yards and "street corners in known drug-trafficking areas."

One spoke of being motivated to improve his gun skills by his belief that officers "go to the range two, three times a week [and] practice arms so they can hit anything."

In reality, victim officers in the study averaged just 14 hours of sidearm training and 2.5 qualifications per year. Only 6 of the 50 officers reported practicing regularly with handguns apart from what their department required, and that was mostly in competitive shooting. Overall, the offenders practiced more often than the officers they assaulted, and this "may have helped increase [their] marksmanship skills," the study says.

The offender quoted above about his practice motivation, for example, fired 12 rounds at an officer, striking him 3 times. The officer fired 7 rounds, all misses.

More than 40% of the offenders had been involved in actual shooting confrontations before they feloniously assaulted an officer. Ten of these "street combat veterans," all from "inner-city, drug-trafficking environments," had taken part in 5 or more "criminal firefight experiences" in their lifetime.

One reported that he was 14 when he was first shot on the street, "about 18 before a cop shot me." Another said getting shot was a pivotal experience "because I made up my mind no one was gonna shoot me again."

Again in contrast, only 8 of the 50 LEO victims had participated in a prior shooting; 1 had been involved in 2 previously, another in 3. Seven of the 8 had killed offenders.

CONCEALMENT.

The offenders said they most often hid guns on their person in the front waistband, with the groin area and the small of the back nearly tied for second place. Some occasionally gave their weapons to another person to carry, "most often a female companion." None regularly used a holster, and about 40% at least sometimes carried a backup weapon.

In motor vehicles, they most often kept their firearm readily available on their person, or, less often, under the seat. In residences, most stashed their weapon under a pillow, on a nightstand, under the mattress––somewhere within immediate reach while in bed.

Almost all carried when on the move and strong majorities did so when socializing, committing crimes or being at home. About one-third brought weapons with them to work. Interestingly, the offenders in this study more commonly admitted having guns under all these circumstances than did offenders interviewed in the researchers' earlier 2 surveys, conducted in the 1980s and '90s.

According to Davis, "Male offenders said time and time again that female officers tend to search them more thoroughly than male officers. In prison, most of the offenders were more afraid to carry contraband or weapons when a female CO was on duty."

On the street, however, both male and female officers too often regard female subjects "as less of a threat, assuming that they not going to have a gun," Davis said. In truth, the researchers concluded that more female offenders are armed today than 20 years ago––"not just female gang associates, but female offenders generally."

SHOOTING STYLE.

Twenty-six of the offenders [about 60%], including all of the street combat veterans, "claimed to be instinctive shooters, pointing and firing the weapon without consciously aligning the sights," the study says.

"They practice getting the gun out and using it," Davis explained. "They shoot for effect." Or as one of the offenders put it: "[W]e're not working with no marksmanship....We just putting it in your direction, you know....It don't matter...as long as it's gonna hit you...if it's up at your head or your chest, down at your legs, whatever....Once I squeeze and you fall, then...if I want to execute you, then I could go from there."

HIT RATE.

More often than the officers they attacked, offenders delivered at least some rounds on target in their encounters. Nearly 70% of assailants were successful in that regard with handguns, compared to about 40% of the victim officers, the study found. (Efforts of offenders and officers to get on target were considered successful if any rounds struck, regardless of the number fired.)

Davis speculated that the offenders might have had an advantage because in all but 3 cases they fired first, usually catching the officer by surprise. Indeed, the report points out, "10 of the total victim officers had been wounded [and thus impaired] before they returned gunfire at their attackers."

MISSED CUES.

Officers would less likely be caught off guard by attackers if they were more observant of indicators of concealed weapons, the study concludes. These particularly include manners of dress, ways of moving and unconscious gestures often related to carrying.

"Officers should look for unnatural protrusions or bulges in the waist, back and crotch areas," the study says, and watch for "shirts that appear rippled or wavy on one side of the body while the fabric on the other side appears smooth." In warm weather, multilayered clothing inappropriate to the temperature may be a giveaway. On cold or rainy days, a subject's jacket hood may not be covering his head because it is being used to conceal a handgun.

Because they eschew holsters, offenders reported frequently touching a concealed gun with hands or arms "to assure themselves that it is still hidden, secure and accessible" and hasn't shifted. Such gestures are especially noticeable "whenever individuals change body positions, such as standing, sitting or exiting a vehicle." If they run, they may need to keep a constant grip on a hidden gun to control it.

Just as cops generally blade their body to make their sidearm less accessible, armed criminals "do the same in encounters with LEOs to ensure concealment and easy access."

An irony, Davis noted, is that officers who are assigned to look for concealed weapons, while working off-duty security at night clubs for instance, are often highly proficient at detecting them. "But then when they go back to the street without that specific assignment, they seem to 'turn off' that skill," and thus are startled––sometimes fatally––when a suspect suddenly produces a weapon and attacks.

MIND-SET.

Thirty-six of the 50 officers in the study had "experienced hazardous situations where they had the legal authority" to use deadly force "but chose not to shoot." They averaged 4 such prior incidents before the encounters that the researchers investigated. "It appeared clear that none of these officers were willing to use deadly force against an offender if other options were available," the researchers concluded.

The offenders were of a different mind-set entirely. In fact, Davis said the study team "did not realize how cold blooded the younger generation of offender is. They have been exposed to killing after killing, they fully expect to get killed and they don't hesitate to shoot anybody, including a police officer. They can go from riding down the street saying what a beautiful day it is to killing in the next instant."

"Offenders typically displayed no moral or ethical restraints in using firearms," the report states. "In fact, the street combat veterans survived by developing a shoot-first mentality.

"Officers never can assume that a criminal is unarmed until they have thoroughly searched the person and the surroundings themselves." Nor, in the interest of personal safety, can officers "let their guards down in any type of law enforcement situation."

OK, ce sont la frange la plus dangereuse de tout ce qu'on peut trouver comme racailles, mais le résultat est interressant: en gros, ces gens là ne visent pas: ils tirent instinctivement, en premier, et beaucoup. Un policier confronté à ces personne se fait tirer 4-5 fois dessus dont 1 ou 2 "hit" avant de pouvoir simplement retourner le feu.

Mais bon, ce sont des personnes qui se sont fait tirer dessus dans la rue à 14 ans, et portent une arme en permanence depuis l'age de 17 ans. (notez aussi la moyenne de 2 entrainement au tir par mois)

ma rossi puma en 44 mag chargée a la grenaille. de quoi voir venir sans user prématurement le ressort de magasin.

Déflagration suffisante pour effrayer, sans exploser les tympans en intérieur.

Effet non létal mais dévastateur à courte portée ( >5m ) dissuasif jusqu'à 25 mètres.

Sinon des fenêtres de qualité, une alarme sonore et une porte solide sont aussi très efficaces et ont l'avantage non négligeable d'éviter a leur propriétaire bien des tracasseries judiciaires a celui qui s'en servira...

D'où l'intérêt du Wakizashi.

Citation :

D'où l'intérêt du Wakizashi.

Comparé a quoi ???

Très difficile de répondre en cas d'agressions ??
J'ai eu à faire face à cela il y a 18 ans !!
Réplique : Fusil à pompe un coup en l'air . les trois agresseurs ce sont sauvés
heureusement SINON ????

Projektyle a écrit:

beretta92fs a écrit:

... Sinon le conseil que je donne à mon entourage qui me sais passionné par les joujous qui font pan, c'est de garder la forme en faisant de l'endurance-course de fonds et de s'initier à un sport de contact (la boxe anglaise par ex).
...

C'est le genre de conseil qui ne fonctionne que pour les gens relativement jeunes, bien portants et en bonne condition physique. Car demander à un handicapé, une personne obèse ou une personne de plus de 50 ans d'avoir de l'endurance ou des réflexes à la Chuck Norris, c'est utopique... Et avoir un bon niveau en self-défense demande des années d'entrainement dans un club d'arts martiaux...

C'est pas faut.

Je donne ces conseils surtout aux apprentis "Justiciers de la ville" qui se sentent au dessus des lois (légitime défense toussa).

"Le Wakizashi était principalement destiné au combat en milieu clos. Son allonge permettait de "couvrir" un volume suffisant, sans être trop encombrant. Par contre, il faut savoir ce qu'on fait avec un engin comme ça !"

En effet, mais le problème n'est pas le close combat avec le katana face à une arme à feu, c'est plutôt la distance, d'où mon choix pour une lame longue.
Je ne pense pas qu'un mec va venir m'agresser chez moi, se retrouver à un mètre avec un wakizashi et avoir 10 ans de pratique derrière lui; du moins c'est pas ce qui a le plus de chance d'arriver '^^

Pour le coup de 12, faut demander à Darius, après l'OM 50 Nemesis dans un couloir le 12 doit lui sembler une musique douce.

GUY GUILLON a écrit:

Très difficile de répondre en cas d'agressions ??
J'ai eu à faire face à cela il y a 18 ans !!
Réplique : Fusil à pompe un coup en l'air . les trois agresseurs ce sont sauvés
heureusement SINON ????

Le plafond, lui, est mort.

Il est super beau celui là

Oh p*tain, ou on pêut le trouver celui là?

...

Très sympathique ce guidon

dharko a écrit:

GUY GUILLON a écrit:

Très difficile de répondre en cas d'agressions ??
J'ai eu à faire face à cela il y a 18 ans !!
Réplique : Fusil à pompe un coup en l'air . les trois agresseurs ce sont sauvés
heureusement SINON ????

Le plafond, lui, est mort.

Non première cartouche gom cogn , 2em chevrotine 9 3em chevrotine 9e etc.

GUY GUILLON a écrit:

Le plafond, lui, est mort.

Non première cartouche gom cogn , 2em chevrotine 9 3em chevrotine 9e etc. [/quote]
Heheh et en dernier un slug!

Heheh et en dernier un slug!

Chevrotine reliées

GUY GUILLON a écrit:

Heheh et en dernier un slug!

Chevrotine reliées

Oops ça doit réveiller…

Rien ne remplace les vielles recettes du terroir